Onzième roman, livre dix-huit

Onzième roman, livre dix-huit

Dag Solstad

Préface d'Haruki Murakami

Palmarès Le Point des 25 livres de l’année 2018

Bjørn Hansen vient d’avoir cinquante ans et est affligé de constater que c’est le hasard qui a conduit sa vie. Dix-huit ans plus tôt, il a délaissé sa femme et son fils de deux ans pour sa maîtresse, persuadé de donner un nouveau sens à son existence. Mais le temps a passé, les désillusions se sont...

Traduit du Norvégien par Jean-Baptiste Coursaud

Édition papier

Date de parution : 30/08/2018

Prix : 17 €

Format : 240p.

ISBN : 978-2-88250-527-9

Édition numérique

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Date de parution : 30/08/2018

Prix : 11,99 €

ISBN : 978-2-88250-531-6

    « Cela faisait bien longtemps que je ne m’étais plus retrouvé à ce point happé par un roman. »


    Haruki Murakami


     


    « Dag Solstad est un écrivain des profondeurs… Il a du souffle. »


    Peter Handke


     


    « Sa langue scintille d’une élégance old-fashioned, et irradie un souffle unique, inimitable et plein d'élan. »


    Karl Ove Knausgård


     



    « Incompréhension, quiproquos : ce livre décrypte tout ce qui grippe les rapports humains. »


    Femme Actuelle


     


    « Que dire ? Qu'il est question d'amour et de théâtre, d’amitié et d'ennui ? Que Dag Solstad a écrit ici un livre bien étrange... qu’il suffit au fond de l’entamer pour se sentir happé - comme fut happé son célèbre préfacier Haruki Murakami -, irrésistiblement transporté par ce récit à la fois classique et âpre, incroyablement singulier et troublant. »


    Librairie Tropismes (Bruxelles)

Préface d'Haruki Murakami

Palmarès Le Point des 25 livres de l’année 2018

Bjørn Hansen vient d’avoir cinquante ans et est affligé de constater que c’est le hasard qui a conduit sa vie. Dix-huit ans plus tôt, il a délaissé sa femme et son fils de deux ans pour sa maîtresse, persuadé de donner un nouveau sens à son existence. Mais le temps a passé, les désillusions se sont enchaînées, et il se met en danger en planifiant une suite périlleuse à sa vie.

Texte magistral sur la crise existentielle, Onzième roman, livre dix-huit dessine le portrait d’une société médiocre où les valeurs marchandes finissent toujours par prendre le pas sur les idéaux.

« Le plan serait réalisé. Il était désormais on ne peut plus concret. Il ne manquait que le lieu du délit, qui se révélerait de lui-même à la première occasion venue. »

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