« Un magnifique récit impressionniste. »
Sophie Pujas, Transfuge
« Quand le jeune Édouard clôt sa première journée de liberté par un repas comme jamais dans sa vie chez son oncle Janek, quand il s’effondre sur le divan et s’enfouit dans un pesant cauchemar, les lourds chevaux de l’état-major s’ébranlent, les culasses s’entrechoquent, le procureur menaçant exorbite ses yeux, et le petit Polonais retrouve les mots de la prière entendue avant son incarcération à quatre ans : “ Matka Boska, mère de Dieu, protégez-nous ! ” On se prend à penser : lui et nous, nous tous… »
Georges Nivat, Le Temps
« À travers ses yeux d’enfant en cavale, Édouard Kotcherguine donne un témoignage nouveau, étonnant et rare sur la Russie pendant la période stalinienne. Tout contribue à donner à ce récit d’apprentissage un parfum de liberté qui triomphe du malheur. »
Christine Mestre, Le Figaro