« L’ultime roman d’un génie russe. »
Sophie Pujas, Le Point
« Rédigé de 1928 à 1935 dans une prose haletante empreinte de poésie et de satire, Le Fléau de Dieu témoigne de l’obsession de Zamiatine pour le motif de la liberté. »
Anne-Laure Buffard, Transfuge
« La bibliothèque de Dimitri exhume un nouveau joyau. (…) Le roman est animé d’une fougue qui soulève et aveugle comme le vent tourbillonnant dans la steppe, d’une vivacité telle qu’on en sort chaviré, prompt à recommencer la lecture à peine la dernière page tournée. »
Annick Morard, Le Temps
« Après la lecture de ce roman, on ne peut qu’être méditatif. Peut-être remarque-t-on que les signes de société corrompue que décrit Zamiatine sont bel et bien observables autour de nous ? »
Ivan Garcia, Le Regard libre
« Le Fléau de Dieu se lit comme une méditation furieuse menée au galop d’une chevauchée sauvage. »
Thibaut Kaeser, Echo magazine