Etienne rentre de vacances avec sa famille parfaite et son apparent bien-être. Sa vie est confortable, routinière. Il mène une vie normale, c’est l’essentiel.
Quand soudain, on annonce à la radio la mort de Jean-Jacques Goldman.
Avec cet adieu au totem et au ciment des classes moyennes, Aurélien Delsaux tire à vue sur notre époque, et il la touche en plein cœur.
À propos de son précédent roman, Pour Luky:
"Les vies sous-jacentes, celles qui passent sous les radars, les mineures, les nouvelles, le roman doit les dire, c'est sa raison d'être. Voilà ce que fait Delsaux, vite, fort, il invente une langue qui est comme un couteau papillon, qui se plie et se replie sans cesse, virevolte et blesse pour finir."
Nicolas Mathieu