« Un beau début littéraire, combinant puissance narrative et finesse psychologique. »
Elena Balzamo, Le Monde des Livres
« La belle traduction de Maud Mabillard nous fait découvrir ce très beau roman […] les descriptions de la nature environnante, à la fois hostile et nourricière, donnent à l'intrigue une mélancolie qui ne quitte pas le lecteur lorsqu'il a reposé le livre. »
Jean-Baptiste Sèbe, Études
« C’est la meilleure nouvelle de cette rentrée littéraire : le grand roman russe cher aux lecteurs épris de noblesse, de compassion, n’est pas mort ! »
Elisabeth Barillé, Le Figaro magazine
« Une grande langue russe, accueillante aux misères de l’homme, et faisant germer son espoir… »
Georges Nivat
« Touchant, juste, à hauteur d’humanité, Zouleikha ouvre les yeux est un magnifique roman russe écrit par une jeune auteure tatare. […] Gouzel Iakhina brosse l’époustouflant portrait d’un petit bout de femme devenue un être fort et déterminé. »
Béatrice Putégnat, Librairie Les Cyclades (Saint-Cloud), Page des Libraires
« Comme souvent dans les romans russes, la nature, puissante, généreuse et hostile à la fois, donne au récit l’élan vital qui transcende la misère des conditions de vie. »
Isabelle Rüf, Le Temps
« Revisitant la tradition des grands romans russes, Gouzel Iakhina signe un superbe portrait de femme. »
Estelle Lenartowicz, Lire
« Remarquablement traduit par Maud Mabillard, dans une langue fluide qui vous coule comme du miel dans les oreilles, ce portrait de femme est à la fois terrible, dépaysant et lumineux. (…) Un roman majeur, et une héroïne qui vous touche durablement. »
Anne Kiesel, Ouest France
« Un roman magistral. »
Stéphane Aubouard, L’Humanité