« Une fantaisie irrésistible, pleine d’humour et habitée en même temps sur le sens de la vie. (…) Le Curiosity de Sophie Divry, lesté de son besoin d’amour, gagne assurément le premier rang dans la galerie des robots sublimement humains, tellement humains. »
Marie Chaudey, La Vie
« En donnant la parole à un robot sur Mars dans Curiosity, puis à une vieille dame dans L'Agrandirox, Sophie Divry tend un miroir à notre vie actuelle. Furieusement émouvant. »
Sandrine Mariette, Elle
« Sophie Divry alliant comme à son habitude cocasserie, âpreté et tendresse, imagine au curieux appareil une forme documentée de mélancolie cybernétique. »
Thierry Raboud, La Liberté
« Dans l’espace, personne ne vous entend crier. Mais dans celui de la littérature, une voix, fusse-t-elle celle d’un robot, peut parcourir l’infini et même au-delà. »
Kevin Muscat, Lyon Capitale
« Derrière le testament robotique qui, de manière assez insensée, parvient à nous émouvoir, Sophie Divry dissimule une métaphore puissante de la condition de l’écrivain qui, dans la solitude existentielle de son œuvre, rêve de grandeur et d’immortalité. Une odyssée spatiale inventive, ambitieuse et résolument poétique. »
Léonard Desbrières, Technikart
« Du vertige cosmique à l’infiniment petit, ces deux histoires s’entrechoquent en ouvrant notre actualité sur des perspectives troublantes. »
T. B. L’Alsace
« Sophie Divry nous offre une nouvelle étonnante où la cocasserie spatiale le dispute aux angoisses métaphysiques. »
F. L. Paris Match
« Une fantaisie irrésistible, pleine d’humour et habitée en même temps sur le sens de la vie. (…) Le Curiosity de Sophie Divry, lesté de son besoin d’amour, gagne assurément le premier rang dans la galerie des robots sublimement humains, tellement humains. »
Marie Chaudey, La Vie
« En donnant la parole à un robot sur Mars dans Curiosity, puis à une vieille dame dans L'Agrandirox, Sophie Divry tend un miroir à notre vie actuelle. Furieusement émouvant. »
Sandrine Mariette, Elle
« Sophie Divry alliant comme à son habitude cocasserie, âpreté et tendresse, imagine au curieux appareil une forme documentée de mélancolie cybernétique. »
Thierry Raboud, La Liberté
« Dans l’espace, personne ne vous entend crier. Mais dans celui de la littérature, une voix, fusse-t-elle celle d’un robot, peut parcourir l’infini et même au-delà. »
Kevin Muscat, Lyon Capitale
« Derrière le testament robotique qui, de manière assez insensée, parvient à nous émouvoir, Sophie Divry dissimule une métaphore puissante de la condition de l’écrivain qui, dans la solitude existentielle de son œuvre, rêve de grandeur et d’immortalité. Une odyssée spatiale inventive, ambitieuse et résolument poétique. »
Léonard Desbrières, Technikart
« Du vertige cosmique à l’infiniment petit, ces deux histoires s’entrechoquent en ouvrant notre actualité sur des perspectives troublantes. »
T. B. L’Alsace
« Sophie Divry nous offre une nouvelle étonnante où la cocasserie spatiale le dispute aux angoisses métaphysiques. »
F. L. Paris Match