« L’auteure nous emmène admirer la beauté des choses toutes simples, jouir de l’effervescence intellectuelle de Paris, consoler ses accès de désespoir. Et ce qui en demeure, longtemps après avoir refermé le livre, c’est une pureté vibrante quant à la vie, une solitude sans commune mesure, une curiosité illimitée à l’égard de l’avenir. »
Camille Cloarec, Le matricule des anges
« La prose énergique de Qiu Miaojin est une bouffée rafraîchissante. Qiu marque le lecteur de la violence de son intelligence. »
Leopoldine Core, The New York Times
« La voix de Qiu, à la fois familière et métaphysique, enchante. Elle affirme le pouvoir de la littérature. »
Publishers Weekly