« Comme Tchekhov et Céline, Pavlov décrit la détresse des vies avec un humour noir qui a l’étrange faculté de conserver de la tendresse pour elles ; ses descriptions sont si réalistes qu’elles inspirent un sentiment d’étrangeté, celui du cauchemar ou de la nuit d’ivresse. »
Pierre Benetti, La Quinzaine littéraire
« La prose de Pavlov est celle d’un cogneur, le macabre ne l’effraie pas, il attrape le réel au collet et on plonge avec lui dans les ténèbres de cette Russie “hospitalière”. »
Michel Audétat, Le Matin Dimanche
« Nous, les gens de la rue, nous découvrons mis à nu. Ce qui provoque en nous quelque chose d’indicible et d’instantané : une compassion libérée de tout moralisme, à peine orientée par l’écriture humble de Pavlov, charnue, jamais crue. Lire son Journal, c’est faire une expérience d’authentique fraternité, à des années-lumière de tout sentimentalisme. »
Romane Lafore, Transfuge