« Douze textes aussi subtils que bouleversants où la violence du pays d’origine est racontée depuis l’expérience de l’exil, avec son décalage fécond et son sentiment d’étrangeté. Chacun s’avère un petit chef-d’œuvre d’intelligence et d’émotion, qu’on a envie de relire pour la beauté de la langue et d’une construction aussi fluide qu'impeccable. »
Anne Pitteloud, Le Courrier
« Le Manteau à martingale jette des ponts entre les rives, entre les gens, entre les vivants et les morts, mais ces ponts sont fragiles et leur équilibre précaire. Ils tiennent par la seule force de la littérature. »
Annick Morard, Le Temps
« Chichkine continue d’arpenter ce territoire qui est le sien, à cheval sur deux histoires et deux cultures. Il n’y a pas de déchirement chez lui, son cœur est assez vaste pour faire de la place aux deux pays, l’immense et le petit, et le travail de cet exil sur sa langue natale ne cesse de l’intriguer et de le combler. »
Frédéric Fanchette, Libération
« Chichkine veut faire danser la vie au-delà des douleurs de l'Histoire, celle-là même que l’on retrouve au plus fort de la littérature russe quand le lyrisme se veut élévation de l’âme. »
Alain Favarger, La Liberté
« La vie, rien qu’elle. »
Élisabeth Barillé, Le Figaro magazine