« La langue de Giosuè Calaciura est unique, objectivement unique : c’est une langue très belle, dense, poétique, baroque, traversée de constantes inventions métaphoriques. »
Jérôme Ferrari (Préface)
« Deux romans réunis pour évoquer la sombre puissance de deux institutions de la société italienne contemporaine : la Mafia et le Vatican. […] La publication dans un même volume de ces deux textes permet de mesurer à dix ans de distance - Malacarne fut initialement édité par Les Allusifs en 2007 – la permanence de la force de frappe littéraire et, singulièrement, stylistique de Giosuè Calaciura. […] deux splendides contes remarquablement traduits par Lise Chapuis. »
Bernard Daguerre. Le Monde Diplomatique.
