« Un roman brutal et poétique. […] un plaidoyer en faveur de l’émancipation sociale et du courage d'être soi, autant qu’un hommage aux vertus rédemptrices de la littérature - cette dernière nous mettant rarement face à des personnages aussi insupportablement nus. »
Camille Decisier, Le Matricule des anges
« Stéphanie Chaillou déroule la vie de Marilène, une vie particulière qui trouve des échos dans de nombreuses existences. Précise comme une réalisatrice de documentaires à la Agnès Varda ou comme un peintre de vies à la Marie-Hélène Lafon, elle nous offre un roman d’une justesse incroyable, bouleversant, magnifique. »
Aurélie Janssens, Librairie Page et Plume (Limoges), Page des Libraires
« Dans ce roman de la pauvreté, et de tout ce que le nom contient en lui, mais ne dit pas, Stéphanie Chaillou opte pour une langue simple, à la couleur de l’enfance, et qui ne la trahit jamais. Car Le Bruit du monde frappe avant tout par son style, dont la brièveté et la juxtaposition des propositions rappellent les premiers essais poétiques de l’écrivaine. »
Luigi de Piano, Le Courrier (Suisse)
« S’il vous plaît, amis lecteurs, prêtez attention à ce petit livre poignant qui fait entendre une voix neuve et ardente. Le Bruit du monde, par Stéphanie Chaillou, est porteur d'une lucidité et d'un esprit d'audace conquis de haute lutte. […] Dans le style de Stéphanie Chaillou se mêlent les traces de Duras ou d'Annie Ernaux et au bout de ce qu'elle exprime il y a la théorie de la justice de Rawls. »
Alice Ferney, Le Figaro littéraire
« Un roman âpre qui invite, dans les pas de Jacques Rancière, à remplacer le mépris par la considération. »
Sophie Joubert, L’Humanité