« Avec Rouvrir le roman, c’est la littérature qu’elle entend galvaniser. Sophie Divry signe un très stimulant précis de liberté – comme le sont, au fond, tous ses livres. »
Raphaëlle Leyris, Le Monde des Livres
« Est-ce pour autant un essai réservé aux initiés – aux seuls romanciers ? Non, Rouvrir le roman, c'est ici nourrir et son appétit de lectures et son plaisir de lecteur. »
Aurélien Delsaux, Études
« Cet essai est à la fois combatif (et l'humour n'est pas la moindre des armes de Divry, qu'on se rappelle son Federmanien Quand le diable sortit de la salle de bain) et tempérant ; informé (l'auteure est une lectrice augmentée, semble-t-elle affirmer par son travail, me dis-je, une hyper-lectrice, en somme), documenté, donc, et extrêmement clair – d'une grande qualité, d'une grande tonicité, d'une grande joie. »
Guénaël Boutouillet, Faire (800) signes
« Il est parfois important de mettre les poings sur les i. Voire de rappeler de quel i on parle. C’est ce que fait Sophie Divry dans son essai (...). Tonique et décontracté, son texte n’en est pas moins combatif. Son propos est multiple et stimulant : montrer que le roman, loin d’être moribond (ou carrément enterré), se porte bien, mais à condition qu’on se donne les moyens de l’ouvrir… »
Claro, Le Clavier cannibale
« Une réflexion rassérénante, modeste, engagée, profonde et stimulante. »
Caroline Clément, Librairie Coiffard (Nantes), Page des Libraires
