« Roman perturbant sur les stratégies de survie dans un monde en crise, Bonne élève a surtout le mérite d'apporter un éclairage troublant de vraisemblance sur les rapports de soumission qui s'instaurent entre les êtres. »
Ariane Singer, Le Monde des Livres
« Il y a une jubilation, dans ce texte, qui échappe avec bonheur à la psychologie. »
Libération
« Un texte âpre et impitoyable sur la déchéance sociale. »
Damien Aubel, Transfuge
« Dans ce premier roman agité, aussi dérangeant qu’ignivore, Paula Porroni crée avec radicalité ‘’un paysage glacial de mots’’ tout en dressant le constat d'une jeunesse ultra-éduquée mais en perdition, s'obstinant à briller quand tout se craquèle. »
Focus Vif
« Je ne connais pas de romans argentins contemporains qui soient allés aussi loin avec une orientation aussi toxique, et en soient revenus avec le trésor perturbant, à la fois lucide et abject, avec lequel Bonne élève remonte à la surface. Le ressentiment est l’âme, le cœur malade, inconditionnel, qui maintient la voix du roman dans cet extraordinaire état de tension et d’alerte, aux aguets, comme sur le pied de guerre. »
Alan Pauls, El País
« Certains écrivent au scalpel, d’autres manient le rasoir à la place de la plume. Le premier roman de la jeune Argentine Paula Porroni a la brièveté térébrante d’une coupure. »
Damien Aubel, Transfuge