« L’Ukrainienne Sofia Andrukhovych ravive avec bonheur un recoin de l’Empire austro-hongrois finissant. […] Sofia Andrukhovych a su éviter toute uchronie érigeant la Galicie de la Belle Époque en version moderne du mythe de l'Andalousie médiévale et multiculturelle. […] La vraie réussite du livre est à chercher plutôt dans les saveurs, les parfums vieillots et les goûts (Stefa est décrite comme une cuisinière hors pair) qui enchantent le lecteur. »
Nicolas Weill, Le Monde des Livres
« À sa manière, Felix Austria évoque un monde disparu, une société tolérante et prospère dans la défunte culture de la Mitteleuropa. »
Marc-Olivier Parlatano, Le Courrier
« Sofia Andrukhovych raconte superbement un monde qui s’illusionne et se fissure. »
Jean-Claude Vantroyen, Le Soir
« Ce qui retient, dans ce premier roman (…), c’est la sensualité. Elle émane du parfum des épices, des effluves de la cuisine de Stefa, de la chevelure d’Adèle. Une riche odeur de fin de siècle, de fin d’époque. »
Isabelle Rüf, Le Temps
« Felix Austria évoque la transition vers la modernité dans la société tolérante et multiculturelle de l’empire austro-hongrois, les illusions de prospérité et de stabilité englouties dans les soubresauts de la Première Guerre mondiale. »
François d’Alançon, La Croix